Jean LARRETGÈRE (1816 - 1867) et Catherine DASSÉ (1833 - 1907)                                              SOSA 18 et 19

Jean LARRETGÈRE et Catherine DASSÉ sont les parents de mon arrière grand-mère, Catherine LARRETGÈRE, qui répondait au prénom de Rosalie. Pourquoi ? Cela reste un mystère. Je ne sais pas du tout d'où vient ce second prénom qui n'est pas celui de l'état civil, ni pourquoi, dans le Sud-ouest ou au moins dans les Landes et dans une moindre mesure à Bordeaux, certaines personnes portent des prénoms qui ne sont pas ceux de l'état civil.

Les parents et la naissance de Jean LARRETGÈRE, ainsi que celle de son demi-frère cadet, prénommé également  Jean, sont évoqués dans la page suivante :

1. La vie de Jean LARRETGÈRE et de Catherine DASSÉ

1.1. Le mariage de Jean LARRETGÈRE avec Catherine DASSÉ

Jean LARRETGÈRE, né en 1816, se marie tard, comme son père. Il a 35 ans en 1851 (peu de temps après le décès de son père) quand il épouse Catherine DASSÉ qui en a 18. Elle est de père inconnu.

 

Quelques mots sur la famille de la mariée, Catherine DASSÉ

La mère de la mariée, Marguerite DASSÉ, est « laboureur » à Josse, mais est elle est née à Saint-Geours-de-Maremne comme ses grands-parents, Jean DASSÉ et Catherine LABORDE et ses arrière-grands-parents, Étienne DASSÉ et Marie LESCAA d’un côté, Jean LABORDE et Marguerite DUMAS de l’autre.

Et même encore un peu plus loin dans le temps, on a les parents d’Étienne DASSÉ, Ciprien DASSÉ et Estiennette PONTNAU qui se marient à Saint-Geours-de-Maremne en 1744.

 

Une page est consacrée à Marguerite DASSÉ, mon ancêtre de la sixième génération, grand-mère de mon arrière grand-mère Catherine LARRETGÈRE.

Jean LARRETGÈRE et Catherine DASSÉ  rédige un contrat de mariage. Je n’ai pas pu avoir accès à ce contrat passé chez maître Devert, notaire à Saint-Martin-de-Hinx. Quels biens faisaient l’objet de ce contrat ? Au moment de son mariage, Jean LARRETGÈRE est laboureur et donc propriétaire de son exploitation agricole. Catherine est déclarée en « état de travail » ; mais sa mère est peut-être propriétaire… Le contrat doit sans doute porter sur des biens immobiliers.

 

Jean LARRETGÈRE et Catherine DASSÉ ont quatre enfants :

  • Jean en 1854,
  • Étienne en 1857 (mais il meurt avant d’atteindre un mois),
  • Catherine, mon arrière-grand-mère en 1858
  • Jeanne, en 1862.

Ils naissent tous Maison Bruca, la maison où vivait feu Pierre LARRETGÈRE, père de Jean ; et c’est également à maison Bruca que décède Jean LARRETGÈRE à l’âge de 51 ans. Laboureur au moment de son mariage, il devint, si on suit les actes de naissance de ses enfants, pasteur en 1854, de nouveau laboureur en 1857, cantonnier en 1858 et il l’est encore à son décès en 1867.

Catherine DASSÉ  se retrouve veuve avec trois enfants de 13, 9 et 5 ans à élever, à l'âge de 34 ans.

1.2. Les informations tirées des recensements de population de Saint-Geours-de-Maremne.

Mise à jour d'avril 2019.

 

Les recensements de 1856 et de 1866 (celui de 1861 n'est pas disponible sur le site des Archives départementales des Landes) confirment les informations déjà obtenues par l'intermédiaire des actes de l'état civil.

Le recensement de 1856 montre le couple Jean LARRETGÈRE et Catherine DASSÉ cinq ans après leur mariage. Jean est désormais pasteur ; il est amusant de relever que leur fils de 2 ans, prénommé Jean également, est également qualifié de pasteur.

Extrait du recensement de 1856.

En 1866, Jean LARRETGÈRE, cantonnier, et Catherine DASSÉ ont bien trois enfants ; certes, on peut noter de petites variations dans les prénoms, comme souvent dans les Landes. L'aîné garde bien son prénom de Jean mais Catherine, 7 ans, a déjà son surnom de Rosalie et la petite dernière, Jeanne, répond au surnom de Valère. Je n'ai toujours trouvé aucune source ou information expliquant cette particularité si souvent remarquée dans ma famille landaise (et parfois également à Bordeaux).

Extrait du recensement de 1866

Source des deux extraits :Archives départementales des Landes.

Cote : E DEPOT 261/1F2

1.3. Catherine DASSÉ, veuve

Mise à jour avril 2019

 

Catherine DASSÉ est une jeune veuve... Me fondant essentiellement sur les informations de l'état civil, je n'avais guère d'informations sur le devenir de Catherine DASSÉ. Le 16 novembre 1867, au moment du décès de son mari, elle n'a que 34 ans, nous l'avons vu. De plus, il ne semble pas qu'elle eût une activité professionnelle (autre que s'occuper de ses enfants et sans doute d'une activité agricole d'appoint avec un objectif d'autoconsommation). Parmi les éléments sûrs : elle ne se remarie pas et n'a plus d'autres enfants. Que nous apprends le recensement de 1872 ?

Extrait du recensement de 1872

Son prénom change : elle était recensée jusque là sous le prénom de Catherine et à partir de 1872, c'est Mélie DASSÉ. En 1872 toujours, elle vit avec son fils aîné, Jean (ici noté "Auguste Jean"), et avec sa plus jeune fille, Jeanne, ici prénommée Valère.

Une absence est notable : celle de Catherine "Rosalie". Elle n'a que 14 ans. Peut-être travaille-t-elle ailleurs ? En tout cas, pas à Saint-Geours-de-Maremne ; tout au moins, d'après mon observation du recensement de 1872. Je n'ai pas trouvé Jean dans la table des registres matricules de 1874 ; ce qui semble logique en tant que seul fils d'une mère veuve qui a encore des enfants à charge : pas de service militaire pour lui.

La suite de la vie de Catherine "Mélie" DASSÉ est finalement assez linéaire bien que je relève quelques petits éléments à vérifier dans le reste de sa vie. Elle est veuve depuis 1867. Nous avons plus haut qu'en 1872, elle vivait avec son fils aîné et sa plus jeune fille. Sa profession n'était pas mentionnée.

Qu'en est-il en 1876 ? Rien. Ou pas grand-chose... En 1876, en décembre lors du recensement, les trois enfants de Catherine DASSÉ et sa bru n'habitent plus à Saint-Geours-de-Maremne. Seule Catherine est mentionnée ; elle exerce la profession de domestique mais ses deux filles, hypothèse possible, ont du suivre l'aîné, Jean, après son mariage, dans son déplacement dont l'origine est sûrement professionnelle, étant donné qu'il travaille pour une compagnie de chemin de fer (au "Midi" dont le nom complet est la Compagnie des Chemins de fer du midi et du Canal latéral à la Garonne). Autre possibilité, elles travaillent dans une autre commune comme domestique : Catherine "Rosalie" a 18 ans et sa jeune sœur Jeanne "Valère" en a 14.

Extrait du recensement de 1876

Source : Archives départementales des Landes.

Cote : E DEPOT 291 / F2

Faisons un saut dans le temps jusqu'au recensement de 1881.

Catherine "Mélie" DASSÉ est désormais marchande. De quoi ? Mystère. Elle vit avec ses deux plus jeunes filles, Catherine "Rosalie" et Jeanne "Valère", toutes les deux portant le patronyme de LARRETGÈRE. Mais un autre LARRETGÈRE est apparu : C'est Martial, 4 ans, petit fils du "chef de maison", sa grand-mère Catherine "Mélie" DASSÉ. Il est le fils,  né quatre ans plus tôt en 1877, à Saint-Geours-de-Maremne, de Catherine "Rosalie",  . Pas de père déclaré pour le jeune garçon.

Extrait du recensement de 1881

En utilisant les informations du recensement de 1886, on observe que Catherine "Mélie" DASSÉ est désormais aubergiste. Jeanne "Valère" est mariée depuis deux ans et vit avec son mari Laurent DUVERDIER, (voir ci-dessous).

Catherine "Rosalie" LARRETGÈRE vit toujours avec sa mère et avec non pas un mais deux fils naturels. Après Martial, c'est Jean-Baptiste qui apparaît dans le recensement, tout juste âgé de 2 jours ! Comme le bébé est né le 28 mai 1886, on peut donc en déduire que l'agent de recensement a du passer le 30 mai).

Extrait du recensement de 1886

Comment évolue la situation de Catherine DASSÉ ? Dans le recensement de 1891, elle est toujours aubergiste, vit toujours seule avec sa fille Catherine "Rosalie" ; cette dernière n'a plus deux enfants naturels mais trois : à Martial et à Jean-Baptiste s'est ajoutée Marie, âgée de 10 mois. Toujours pas de père identifiée. Par contre, Martial n'est plus au domicile familial. En 1891, il a 14 ans. Études ? Apprentissage ? Difficile de savoir où il vit. Il réside à Bayonne à 20 ans quand il doit partir à l'armée et il exerce le métier de comptable. Mais avant ? Cela reste un mystère.

Extrait du recensement de 1891

Recensement de 1896 :  quelques différences significatives apparaissent ; c'est désormais Catherine "Rosalie" LARRETGÈRE, mon arrière-grand-mère qui apparaît comme chef de famille ; sa mère, Catherine "Mélie" DASSÉ n’apparaît plus que comme "mère". Pas de métier d'aubergiste mais celui d'épicière. Le quartier reste identique, entre Brignon-Salet et Petit Brignon, toujours dans le Bourg (c'est-à-dire le centre de la commune), que l'on prononce le "Bourq" comme si le "g" était un "q". Martial n'est toujours pas présent.

Extrait du recensement de 1896

Quelles sont les nouveautés cinq après le recensement de 1896, en dehors de l'entrée dans le XXe siècle ? Catherine "Amélie" DASSÉ retrouve sa place de chef de famille et son métier d'aubergiste. Sa fille, Catherine "Rosalie" LARRETGÈRE a eu un quatrième enfant, Jean, mon grand-père. Martial ne vit toujours pas à Saint-Geours, contrairement à son frère et sa sœur Jean-Baptiste et Marie.

Une petite Marguerite DASSÉ vit avec le reste de la famille. C'est un bébé de 3 mois prénommée Marguerite. c'est sans doute fille de Jean DASSÉ, un cultivateur de 33 ans et de son épouse Cunégonde (ça ne s'invente pas !) GROCQ. Que fait-elle avec Catherine DASSÉ, âgée à ce moment-là de 62 ans ?

Après quelques recherches, j'ai pu trouver une petite explication à la présence de cette petite Marguerite DASSÉ.

- Son père est donc Jean DASSÉ, fils de Guillaume DASSÉ et de Marie DUBERTRAND (mariés en novembre 1863).

=> Guillaume DASSÉ, né en 1841, est le fils de Jean DASSÉ et de Catherine BELIN (mariés en 1840).

==> Et ce Jean DASSÉ, né en 1818, a pour parents Jean DASSÉ et Jeanne LABORDE, qui sont les parents de Marguerite DASSÉ, mère de Catherine "Mélie" DASSÉ.

J'avoue qu'un petit croquis serait plus clair...

Bref, c'est une cousine lointaine...

Extrait du recensement de 1901

Catherine "Mélie" DASSÉ décède en 1907, à l'âge de 73 ans. Elle est restée veuve 40 ans. Le recensement de 1906 nous montre un aperçu de sa situation qui n'a finalement guère changé. Elle est toujours à la tête de son auberge. Sa fille, Catherine "Rosalie" vit toujours avec sa mère avec trois de ses enfants : Jean-Baptiste, 19 ans, qui est sandalier à son compte et qui emploi sa jeune sœur Marie, 15 ans. Mon grand-père, Jean, n'a que 6 ans. 

Extrait du recensement de 1906

2. Que deviennent les trois enfants vivants de Jean LARRETGÈRE et Catherine DASSÉ ?

2.1. Jean "Auguste" LARRETGÈRE, l'aîné

L’aîné, Jean LARRETGÈRE, se marie à 21 ans, en 1876 avec Jeanne BISBAU, native elle-aussi de Saint-Geours-de-Maremne. Elle a 19 ans et c'est une fille de laboureurs. Employé des chemins de fer, Jean devient chef de gare. Ils ont au moins un enfant, Pierre, en janvier 1877.

Jean LARRETGÈRE meurt à 43 ans chez sa mère, Maison Brignon, alors qu’il habitait Bayonne. Il suivait un traitement mais je ne sais pas pour quelle maladie.

2.1.1. Le fils de Jean LARRETGÈRE et de Jeanne BISBAU : Pierre LARRETGÈRE

Pierre LARRETGÈRE, est plutôt grand pour l’époque, comme ses cousins : 1,69 m à 20 ans. Il a les yeux et les cheveux châtains. Ce sont des renseignements fournis par sa fiche matricule.

Il était né la même année que son cousin germain Martial LARRETGÈRE, le fils aîné de Catherine LARRETGÈRE, en 1877. Il était comptable à Biarritz comme Martial et « monte » à Paris comme lui également. Mais avant de "monter" à Paris, il devient militaire.

Pierre LARRETGÈRE est engagé volontaire en 1896 pour quatre ans dans le 15e régiment de Dragons. Rappelé dans l'armée au début de la Grande Guerre dans le 22e régiment de Dragons, il devient gendarme auxiliaire à partir de 1915, affecté à la 19e légion ; l’Écho d’Alger du jeudi 7 octobre 1915 mentionne son arrivée dans le département d’Oran.

À l'instar de son père, il est encore jeune quand il décède en 1925, à 48 ans, près de Paris, à Bagnolet, et à priori sans descendance.

 

 

Extrait de l’Écho d'Alger du 7 octobre 1915.

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.

Au début de la guerre, Pierre est membre du 22e de dragons, c'est à-priori le seul régiment de dragons dont le journal de marche et des opérations lors de la Grande Guerre est absent du site Mémoire des Hommes.

 

2.2.2. Que devient Jeanne BISBAU, épouse de Jean LARRETGÈRE et mère de Pierre ?

Recherches en cours

2.2. Catherine "Rosalie" LARRETGÈRE, deuxième enfant vivant de Jean LARRETGÈRE et de Catherine DASSÉ

Catherine LARRETGÈRE est mon arrière-grand-mère. Elle est le troisième enfant de Jean LARRETGÈRE et de Catherine DASSÉ. Cependant, le deuxième enfant du couple, prénommé Etienne, n'a vécu que 23 jours. Catherine, que l'on appelait Rosalie, a une page dans ce site ainsi que chacun de ses enfants :

- Martial,

- Jean-Baptiste,

- Marie

- et mon grand-père Jean

En cliquant sur les liens suivants, vous pourrez obtenir plus de renseignements.

2.3. Jeanne "Valère" LARRETGÈRE, dernier enfant de Jean LARRETGÈRE et de Catherine DASSÉ

La petite dernière, Jeanne, surnommée Valère, s'appelle en fait officiellement "Jean".  En effet, son acte de naissance mentionne le prénom Jean. La page de l'acte est (était ?) absente du site des Archives départementales des Landes. J'ai signalé l'absence de cette page et le service des Archives départementales m'a gracieusement fourni la page manquante.

Elle a cinq ans au moment du décès de son père dont elle a du garder peu de souvenirs. 

Source : Archives départementales des Landes. Une fille qui s'appelle Jean, ce n'est pas commun en France. Donc, originalité des parents ou, plus vraisemblablement, bévue du maire de Saint-Geours-de-Maremne, Jean-Théodore BESSABAT ?

Jeanne "Valère" LARRETGÈRE se marie à Saint-Geours-de-Maremne avec Laurent DUVERDIER, 26 ans, terrassier puis employé de chemin de fer. Au moment du mariage, en 1884, la mère de JeanneCatherine DASSÉ, est aubergiste selon l’acte. 

Jeanne LARRETGÈRE et Laurent DUVERDIER ont une fille, Marguerite, qui décède à Bordeaux en 1944 à l’âge de 58 ans. S’est-elle mariée, a-t-elle eu des enfants ? Rien n’est moins sûr. Ajoutons que Laurent DUVERDIER, 1,60 m, aux yeux et aux cheveux châtains, fut visiblement un bon conscrit qui finit avec le grade de sergent au 142e régiment d'infanterie après ses 4 ans de service militaire entre novembre 1879 et septembre 1883.

Les LARRETGÈRE à Saint-Geours-de-Maremne au XXe siècle

En mauvais état et incomplet, la cession de l'hôtel, bar, restaurant à Jean-Baptiste Larretgère, en 1927, par ses frères et sœurs (Martial, Marie et Jean) après le décès de leur mère Catherine Larretgère. Source : archives familiales.

Mon père est ici présent à un mariage, un double mariage ; il me semble qu'il s'agit de membres de la famille de Tantote, des Lembeye.On notera l'enseigne peinte : "Restaurant Larretgère".

Source : archives familiales.

 

En détail ci-dessous, mon père Pierre LARRETGÈRE ; Eulice DAVID et Marie LARRETGÈRE ; Marie LARRETGÈRE (soeur de Jean-Baptiste, tante de mon père, Pierre LARRETGÈRE et de Marie LARRETGÈRE épouse DAVID) et son mari, Victor "Lucien" LAPÉBIE ; Jeanne "Tantote" LEMBEYE

A venir : deux enfants, ceux de Marie LARRETGÈRE et Eulice DAVID, Jean et Michèle David, qui sont donc les petits-enfants de Jeanne "Tantote" LEMBEYE. Je n'ai pas encore eu le temps de vérifier leur identification sur la photo. 

8.3. Mon grand-père Jean LARRETGÈRE et sa fin de vie à Saint-Geours-de-Maremne

Mon grand-père, Jean LARRETGÈRE, à la retraite, décide de retourner dans son village natal en 1961 pour y finir ses jours. Ma grand-mère, Maria Duten, que tout le monde appelle Jeanne, ne souhaite pas quitter Bordeaux (enfin, la banlieue bordelaise car ils vivaient à Talence) mais son avis, visiblement, ne pèse pas. Ils s'installent au bourg de Saint-Geours-de-Maremne. Jean décède deux ans plus tard d’un arrêt cardiaque. Il avait 64 ans.

 

Il n’y a de LARRETGÈRE à Saint-Geours-de-Maremne qu’au cimetière. Même la large inscription « LARRETGÈRE » peinte au-dessus de l’hôtel restaurant disparaît quand la veuve de Jean-Baptiste LARRETGÈRE , Jeanne LEMBEYE dite « Tantote » décède en 1971 et que l’auberge change de mains.

La photo est floue mais c'est une des dernières prises de mon grand-père. De gauche à droite, ma grand-mère Maria DUTEN, ma mère Lucienne MURAT, mon cousin Dominique LARRETGÈRE et mon grand-père Jean LARRETGÈRE . Mon père doit être le photographe. Mes parents se sont mariés en juin 1963 et mon grand-père décède en décembre de la même année. La photo a du être prise au cours de l'été 1963.

Source : archives familiales.